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Burnout : refaire surface

Nous connaissons tous dans notre entourage une personne qui a traversé un burnout. Cela ne fait que refléter la tendance générale : les cas se multiplient et ne se ressemblent pas.

Cette angoissante plongée dans le noir diffère pour chacun, avec un point commun cependant : une profonde asthénie mentale et physique, une souffrance qui touche tous les aspects de notre être. Et de notre vie.

Portrait d’une lente descente vers l’épuisement professionnel ultime et découverte des outils à notre disposition pour se retrouver et…remonter à la surface !

Le poids des mots

Le burnout a longtemps été mis en doute ?. Mal-être, stress aggravé, maladie imaginaire… Les débuts de cette affection – n’ayons pas peur des mots ! – ont été tortueux et marqués par une non-reconnaissance dans les milieux médicaux.

Le terme « burnout » n’était prononcé que du bout des lèvres, avec peu de conviction et beaucoup de scepticisme.

Force est de constater que cette étape ingrate semble être indispensable à toute ouverture et évolution vers l’apprentissage et la connaissance… Comme un début de piste, elle marque les prémices d’une prise de conscience.

Le mot apparaît sur les lèvres des spécialistes ??‍⚕️ grâce à la langue anglaise : les pays anglo-saxons ont une longueur d’avance en la matière. Le burnout y fait l’objet d’études et de discussions, il s’invite dans les débats publiques qui le portent enfin sur le devant de la scène.

 

Un processus lent et insidieux

Finalement, le terme anglais a su se faire adopter ici aussi et c’est tant mieux : son sens étymologique explique parfaitement à lui tout seul l’asthénie chronique généralisée.

L’aérospatiale connaît bien ce mot qui désigne l’épuisement du carburant d’une fusée ?, première étape vers la surchauffe et le risque d’implosion.

Par extension, « to burn out » c’est littéralement « brûler à petit feu » avec un idée sous-jacente d’épuisement des énergies et des ressources à disposition.

Appliqué à la personne, on comprend d’emblée qu’il s’agit d’une évolution et non d’un état constaté à un instant T. L’individu se consume de l’intérieur ?. Vidé peu à peu de sa vitalité / vie-talité, il s’épuise jusqu’à extinction des feux.

Burnout vs stress

Stress et burnout vont de paire, mais ne sont pas la même chose. Le stress chronique peut être l’un des déclencheurs du burnout.

Soumis au stress prolongé notamment sur son lieu de travail – on parle d’épuisement professionnel – l’organisme s’essouffle et n’arrive plus à s’adapter à cette forme d’hyper-stimulation continue.

Le stress est lié à la notion d’excès ; le burnout est lié à la notion de vide.

Par exemple, en burnout le taux de cortisol (l’hormone du stress) est très faible, alors qu’en période de stress ou de dépression, ce même taux est élevé.

Dans le même ordre d’idées, une personne stressée aura tendance à réagir à l’excès, à être hyperactive et à produire ou agir dans l’urgence. Par opposition, une personne en burnout se retire de tout engagement, est coupée de ses émotions et agit automatiquement sous l’effet d’une réaction reptilienne de défense de la part du cerveau ?.

Ainsi soumise à la pression tant interne qu’externe – environnement professionnel oblige – la personne en burnout réagit en mode automatique à chaque stimulation. Ce type de réaction robotique ? devient la norme, étouffant par là même toute tentative d’adaptation.

C’est la distanciation de nos propres ressentis et émotions. C’est aussi l’étape de la dépersonnalisation.

 

Hommes et femmes

Le burnout n’épargne personne : hommes et femmes sont concernés. Cela s’explique par une aptitude relativement universelle à faire preuve de résistance à la pression, notamment extérieure.

C’est d’ailleurs l’un des pièges qui conduisent au burnout : hommes et femmes se croient adaptables et résistants à l’infini… Jusqu’à ce qu’il soit trop tard ? ! On assiste alors bien souvent à une implosion brusque et violente : évanouissement, impossibilité de bouger, effondrement des défenses immunitaires, troubles cardiaques, ulcères, maladies à répétition…

Un autre point commun réside dans l’engagement des personnes dans leur vie professionnelle : dévouées, en quête de reconnaissance et ne comptant pas leur énergie ou leur nombre d’heures, elles sont prises au piège de leur envie de se surpasser.

 

Remonter aux sources

S’extirper du burnout est possible. Comment faire et par où commencer ? Par l’identification des sources de l’épuisement professionnel. Ce travail sur soi et notre environnement quotidien équivaut à prendre le mal et son mécanisme à la racine afin de ne pas le laisser s’installer ou, éventuellement, le reproduire.

Pour cela, le premier geste salvateur consiste à se tourner vers les autres. Les manifestations du burnout sont souvent perceptibles aux personnes qui nous entourent. Celles-ci peuvent nous envoyer des messages ? afin de nous alerter. Leur regard extérieur est certainement plus attentif et attentionné que celui de la personne en burnout, coupée d’elle-même.

Sans oublier que si nous pouvons avancer seul… à plusieurs nous sommes certainement plus forts, comme le veut un autre adage anglais, « stronger together ». A ce propos, n’hésitons pas à nous tourner vers des groupes de parole, communautés, associations ou organisations qui pourront nous accompagner, ainsi que nos proches.

Pour enquêter sur les sources du mal, nous pouvons aussi commencer par appeler un chat un chat et mentionner le burnout. Sans détours. J’en reviens donc ici à l’importance des mots dans la reconnaissance d’une véritable souffrance.

C’est le début de tout travail préliminaire à l’analyse ?.

En pratique : identifier les points d’usure

Sur le terrain, nous pouvons agir en identifiant les points d’usure. Quels sont les mécanismes professionnels qui nous demandent constamment un surplus d’énergie ? Quelles personnes reposent excessivement sur nous et notre disponibilité à chaque instant ?

En parler à une personne de confiance et, de préférence, un professionnel, est d’une grande aide : le point de vue extérieur permet en effet d’identifier plus facilement ces mécanismes usants, les analyser et apprendre à s’y adapter. Car, ne l’oublions pas, nous n’avons pas forcément toujours la main sur les événements extérieurs !

Dans ce cas, inutile de s’épuiser à faire changer les autres ou une entreprise… A nous de trouver, grâce à une aide professionnelle, les meilleures façons pour contourner le point d’usure et changer en notre for intérieur pour l’appréhender autrement.

 

Signes annonciateurs

Etre attentif et réceptif aux signes ? extérieurs et intérieurs (les célèbres red flags en anglais) à l’origine du burnout est l’une des meilleures façons de le prévenir. Cela est d’autant plus faisable que ces signes sont multiples et touchent toute la sphère humaine :

  • Signes liés à l’environnement professionnel :

Perte de contrôle sur vos tâches et missions professionnelles

Manque de reconnaissance du travail accompli

Attentes professionnelles excessives et peu réalistes

Le Brown Out : tâches et missions ennuyeuses, vides de sens, illogiques, répétitives, contradictoires

Milieu professionnel désordonné, chaotique

  • Mode de vie :

Absence d’équilibre entre la vie professionnelle et la vie personnelle

Manque de lien social ou familial

Responsabilités quotidiennes excessives

Manque de sommeil

Appauvrissement de notre « vie intérieure »

  • Notre personnalité

Tendance au perfectionnisme

Pessimisme

Besoin de contrôle

Incapacité à déléguer

Le succès définit la personne

 

La dimension physiologique

D’un point de vue strictement physiologique, le burnout correspond à un véritable épuisement. En effet, à force de tirer sur la corde, avec une production de cortisol à son maximum dans la durée, les glandes surrénales n’arrivent plus à suivre. Ainsi sur-exploitées, elles ne peuvent plus produire le cortisol et l’adrénaline. C’est l’épuisement de leur activité et ressources, l’impossibilité de se lever le matin, purement et simplement. Nous verrons d’ailleurs ci-après comment leur venir en aide et soutenir leur activité, toujours de façon naturelle.

Retour au monde sensible

Commencer à émerger d’un burnout ou le prévenir, passe par l’étape qui consiste à renouer des liens – à soi, à son corps et aux autres ensuite.

Pour cela, la nature ?? est d’une aide précieuse et nous offre sa sagesse. Rien que par sa présence, elle agit sur nos hormones et perceptions. Elle éveille ainsi nos sens et notre corps tout en douceur, de façon subtile et organique.

Pour accueillir de nouveau les sensations, une simple exposition au monde sensible de quelques minutes pour commencer peut être un excellent début. Plonger dans le vert d’une forêt grâce au shinrin-yoku, écouter le bruit de l’eau ? qui s’écoule à proximité, respirer les parfums qui se dégagent de la terre, s’immerger dans l’eau…

Cette dernière est particulièrement bénéfique : elle renvoie au liquide amniotique, enveloppe le corps dans sa globalité pour le protéger et le nourrir. Vous n’avez pas la possibilité de vous baigner dans la nature ou la saison ne s’y prête pas ? Prendre un bain entouré de verdure (si possible…) et de quiétude sera du meilleur effet car source d’un sentiment de sécurité.

Le corps perçoit à travers le brouillard du burnout ces signaux. Les ions négatifs et les phytoncides relâchés par les arbres, notamment les conifères, nous apportent tous leurs bienfaits contre les agressions extérieures. Ils aident ainsi à renforcer notre système en faisant de nouveau vibrer nos sens et en nous aidant à être de nouveau dans le corps.

La coupe de notre énergie se remplit, goutte à goutte…

La part des émotions

Grâce à ces stimulations sensibles, les émotions resurgissent… Tel un frémissement, elles nous font ressentir un éclair ⚡️de légèreté, laissent passer un souffle de contentement ou d’émerveillement… C’est un éveil progressif et timide, mais il est bien là !

Pour l’encourager et le nourrir, la méditation est une excellente technique – notamment la méditation en pleine conscience. Encore une fois, il s’agit de s’immerger dans le présent, tout en laissant glisser sur nous les pensées et ruminations possibles.

Grâce à ce type de recentrage, nous apprenons à apprécier le réel : une tasse de thé chaud, un bol à la céramique lisse et brillante, des miettes de pain qui s’égrènent dans notre bouche et au coin de nos lèvres. Chaque petit constat est un ancrage dans l’instant. Un lien salvateur qui nous ramène vers la lumière ?.

Après avoir accueilli ces émotions, il peut être particulièrement bénéfique de travailler autour d’elles et de leur expression. A ce propos, l’EFT (Emotional Freedom Technique), est une pratique psycho-énergétique qui permet de délier les nœuds et conflits. Elle utilise pour cela les méridiens énergétiques chinois (Médecine Traditionnelle Chinoise – MTC) et puise d’ailleurs ses racines dans l’acupuncture. A la différence de celle-ci, l’EFT se pratique sans aiguilles, remplacées par le tapotement des doigts.

L’effet recherché est celui d’un rééquilibrage ⚖️ énergétique du corps et de l’esprit en supprimant les  émotions négatives. C’est pour cette raison que l’on parle aussi de technique psycho-énergétique.

 

Animaux amis

Ces dernières années, les bienfaits de notre contact avec les animaux ont fait l’objet de nombreuses études et découvertes. Les animaux sont les amis de notre énergie et présence à soi ! L’équithérapie est à présent reconnue comme une excellente approche de l’introspection et de la reconnexion à soi et aux autres. Sans jugement et parti pris d’aucune sorte, l’équidé, être sensible par excellence, se cale sur nos vibrations à travers notre posture, nos gestes, notre regard, le ton de notre voix.

Afin de communiquer avec lui et enrichir ce lien, à nous de mettre de l’ordre dans nos pensées, émotions et intentions. A nous d’être présents. C’est un doux encouragement à nous dépouiller du superflus et du surplus, pensées obsessionnelles, noires et limitantes incluses, pour aller à l’essence même de la relation et rétablir l’échange dans la confiance et la complicité. La récompense est une incroyable entente et harmonie basée sur le respect l’un de l’autre.

Ces éléments transformateurs se retrouvent aussi au contact avec les autres animaux : le fait de caresser ou regarder un chien ou un chat – pour ne citer qu’eux – déclenche la sécrétion d’ocytocine dans notre cerveau. Il s’agit de l’hormone de l’amour, de la confiance, de l’attachement et du plaisir.

 

La dynamique du corps

Sous l’effet de telles stimulations, jour après jour, le corps peut regagner en énergie. Nous nous réconcilions avec lui et l’habitons de nouveau, tout en apprenant à baisser le volume de notre mental. La machine se ressource, le corps reprend sa place et peut recommencer à fonctionner. Afin d’être en harmonie avec elle et la stimuler vers le renouveau, le massage impérial est une merveilleuse pratique.

Il s’adresse tout particulièrement aux personnes en souffrance psychologique souhaitant retrouver harmonie et équilibre entre le corps et l’esprit. Il permet de prendre nouvellement conscience de ce corps qui renaît à lui. Cela nous aide à progressivement renouer avec lui.

Le sport et l’activité physique ?? aident à recharger les batteries, les muscles agissant comme autant de contrepoids aux nerfs et nous faisant eux aussi prendre conscience de cette enveloppe charnelle. 

Libérées par l’hypothalamus et l’hypophyse lors de l’exercice, les endorphines ont l’avantage de nous apporter les bienfaits de leur action plusieurs heures après l’arrêt de l’activité sportive. Elles continuent à se disperser dans le système nerveux central, dans les tissus et le sang, pour des effets anxiolytiques, antalgiques et anti-fatigue inégalés.

Afin de soutenir cette dynamique corporelle ⚙️, nous pouvons pratiquer la sophrologie. Véritable outil de développement personnel holistique, elle entraîne à la fois le corps et l’esprit. Elle nous aide à travailler sur nos propres valeurs et ainsi à mieux nous connaître – nous verrons plus loin que c’est là l’une des clés du retour à la surface.

Qui plus est, la sophrologie favorise le sommeil réparateur grâce à des exercices de détente et de respiration doublés de techniques de projection afin de bien préparer sa nuit.

 

Se nourrir autrement

Avec les niveaux d’énergie bas – voire inexistants – en cas de burnout, ce que nous ingérons prend clairement toute son importance car il s’agit, littéralement, de notre carburant.

Afin d’apporter à notre organisme le soutien nécessaire à son fonctionnement et équilibre, tout en l’encourageant à retrouver l’homéostasie, vitamines et minéraux essentiels sont requis. Pour les trouver, mieux vaut dire adieu aux aliments transformés en tout genre.

L’objectif est de faire la part belle aux aliments vrais (non raffinés, non transformés, sans additifs nocifs…), de saison, sains et vivants pour bénéficier de toute leur incroyable richesse. Prêtons aussi attention à leur mode de cuisson afin d’éviter de « brûler » les nutriments… et de les voir partir en fumée ♨️… Pour cela, je préconise des cuissons douces et le vitaliseur de Marion qui est un outil précieux !

Enfin, n’oublions pas que la « mal bouffe » est en soi un stress pour notre organisme : il s’épuise à travailler avec des aliments qui sont artificiels et ne font qu’encrasser tout notre système, ce qui ne peut qu’être terriblement contre-productif ! Le burnout peut aussi être l’occasion toute trouvée de faire une croix sur la « junk food », une bonne fois pour toutes.

Concentrés naturels

A travers la phytothérapie, la nature nous apporte aussi un condensé de bienfaits qui peuvent être d’un grand secours en cas de burnout.

Parmi les huiles essentielles, signalons celle d’épinette noire qui, préalablement diluée dans une huile végétale bio (abricot, amande…) convient particulièrement aux massages. A pratiquer le matin sur toute la zone du bas du dos afin de dynamiser les glandes surrénales. L’épinette présente de propriétés adaptogènes et elle est indiquée dans les asthénies mentales et physiques profondes.

Le laurier noble peut quant à lui être utilisé en olfaction. Il stimule l’encrage et la volonté d’aller de l’avant.

Le pin sylvestre ? est un cortico-stimulant tout indiqué de ce fait pour les asthénies et le burnout.

Et puisque je viens de mentionner les propriétés adaptogènes, citons aussi la racine d’Ashwagandha. Plante adaptogène puissante, elle améliore les capacités mentales permettant de s’adapter à un effort hors normes.

Enfin, le petit grain bigarade a tout d’un grand ! Masser le plexus solaire avec quelques gouttes de son huile essentielle permet de laisser place à la détente et de lever les angoisses entêtantes.

La gemmothérapie nous livre aussi ses bienfaits grâce au bourgeon cassis. Ce dernier est un stimulant surrénalien qui régule et stimule les glandes cortico-surrénales. Il permet ainsi à l’organisme de réapprendre à s’adapter en situation de stress, agit en tant que fortifiant en stimulant le métabolisme général.

⚠️ Comme toujours, mieux vaut consulter votre naturopathe pour la mise en place d’une approche en phytothérapie ou gemmothérapie. Les huiles essentielles et les plantes médicinales recèlent des principes actifs à connaître et à utiliser avec précaution, notamment afin d’éviter toute éventuelle interaction médicamenteuse ou contre-indication. ⚠️

 

Une épreuve initiatique personnelle…

Modifier notre regard sur le burnout passe aussi par l’acceptation du fait que celui-ci présente des issues constructives et qu’il y a bel et bien une vie après cette crise.

Avant toute chose, il est essentiel de comprendre qu’il n’y a aucune honte à être en burnout. Exit le jugement ou l’auto-jugement qui ne feraient que retarder la prise en charge.

Au moindre signe constaté personnellement ou par notre entourage, il ne faut pas hésiter à prendre la parole et à écouter celle des autres. Poser ou accepter les mots permet de prendre conscience de la réalité et d’être reconnu dans sa souffrance.

Il s’agit ensuite de « profiter » du burnout pour analyser nos propres mécanismes de fonctionnement, notamment en milieu professionnel, en se faisant accompagner. Le jeu d’une telle analyse en vaut la chandelle si l’on souhaite éviter une rechute par la suite (30 à 40% des personnes qui font un burnout rechutent).

Les thérapies cognitivo-comportementales sont une excellente façon d’apprendre à changer notre fusil d’épaule, à trouver des solutions viables et pratiques à mettre en place. Elles se fondent sur un riche échange entre le thérapeute et le patient afin d’identifier, puis décomposer schématiquement notre comportement face à une situation donnée pour favoriser la résilience salvatrice.

…à portée universelle

A la clé, non seulement un retour à la surface, mais aussi l’apprentissage de la cohérence avec nous-mêmes en définissant nos valeurs, en délimitant notre sphère professionnelle et personnelle pour assurer à notre être profond un espace d’expression et d’action libre et respectueux.

Et n’allez pas croire qu’il s’agit là d’une épreuve initiatique et d’un cheminement égocentriques ! Car si chacun y va de son petit bonhomme de chemin et de son éveil, c’est au contraire un acte altruiste, voire militant ??, car il contribue à faire bouger les lignes du monde de l’entreprise, de la famille et de la société tout entière.

Sonia Robino

 

Photos : Daniel Torobekov, Karina Zhukovskaya, Karolina Grabowska, Jéshoots, Karolina Grabowska, Olya Kobruseva, Sem Steenbergen, Elina Fairytale, Skyler Sion, Barbara Olsen, Mikhail Nilov, Dominika Roseclay, Artem Beliaikin via Pexels.

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